Un article parfois un peu hermétique pour moi de J. Percebois et JP Pervès…
J’adore ce jargon : « Les économistes connaissent l’effet Averch-Johnson qui explique qu’un gestionnaire de réseaux dont les coûts sont financés grâce à une tarification cost-plus a intérêt à surinvestir puisqu’il bénéficie d’une marge via le WACC (coût moyen pondéré du capital) appliqué à la BAR (Base d’Actifs Régulés). »
Pour ce que j’ai pu en comprendre, je partage leurs conclusions : toutes ces interrogations montrent que la réforme du marché de l’électricité dans un contexte de transition vers une économie bas carbone est loin d’être un long fleuve tranquille et qu’elle comporte encore beaucoup d’incertitudes.
André Lacroix